Courts métrages

Le Biniou (4ème film du projet « Haldernablou »), court métrage de 15 minutes écrit et réalisé par Tom de Pékin, d’après le texte éponyme de Alfred Jarry et les dessins de Tom de Pékin. Producteur : Damien Lagogué pour Les Produits Frais, co-producteur : Olivier Bourbeillon pour Paris Brest Productions.

Sur la côte des Légendes, Haldern et Ablou sont liés par une forte attraction. Haldern veut séduire davantage Ablou. Pour arriver à ses fins, il a décidé d’hypnotiser Ablou. Ablou est amusé, il se laisse faire par le regard envoûtant et la voix mélodieuse de Haldern.

Sur une Chorégraphie de Michael Phélippeau  avec Michael Phélippeau, Alexis Langlois, Jean-Philippe Salerio, Jérome Marin, Bourette.

Tom de Pékin vit et travaille à Paris. Il a étudié aux Beaux-Arts de Valence (France) de 1982 à 1987 dans l’atelier de Pierre Buraglio. Ses techniques de prédilection sont le dessin, la vidéo, la performance, l’art imprimé. Il travaille actuellement sur la réalisation de plusieurs films en collaboration avec des chorégraphes autour de l’œuvre de Alfred Jarry Haldernablou, qu’il a illustrée. Il a réalisé l’affiche du film L’inconnu du lac d’Alain Guiraudie.

Le tournage est prévu du 7 au 9 septembre dans le Finistère (Guisseny).

  

Kerloster, court métrage de 40 minutes écrit et réalisé par Ombeline de la Gournerie, produit par Sève Films.

Baptiste, quinze ans, vit depuis la mort de ses parents dans un village perdu en Bretagne avec son frère et sa sœur aînée. Devenu croyant, il se dévoue à Dieu en priant dans la campagne près de la ferme où il travaille. Un jour, une petite fille lui demande de l’aide pour venger sa mère disparue mystérieusement. Cette rencontre chamboule alors son quotidien et celui de la fratrie.

Avec Pia Lagrange, Jean-Baptiste Le Vaillant, Ewen Gay, Suzanne de Kerdrel et Vincent Guillerm.

Née en 1987 à Ploemeur, Ombeline de la Gournerie est diplômée en 2011 des  Beaux-Arts de Paris. En résidence à la Cité Internationale des Arts pendant une année, elle  développe un travail d’écriture autour de son projet de film Kerloster. Dans son travail, la jeune artiste tente de montrer, d’une manière sensible, la réalité de lieux, de personnes, ancrées dans un quotidien parfois rude et sans artifice.

Le tournage est prévu du 10 au 20 septembre dans le Finistère (La Feuillée, Huelgoat, Guerlesquin,  Botsorhel, Plounerin, Carantec).
 

Les âmes en peine, court métrage de fiction de 15 minutes écrit et réalisé par Eric Rouquette, produit par Noodles Production.

Une femme et son jeune fils sont reçus par un prêtre afin de préparer la cérémonie funéraire de leur mari et père. Grave et silencieux, le garçon retient ses émotions. Revenant à travers la ville, leur malheur est exposé aux regards et à la compassion de tous. Pour y échapper, ils font un détour par le bois, et se mêlent un instant à la vie qui continue malgré eux.

Avec Jeanne Rosa, Tristan Fajal, Laëtitia Leboucher, Geneviève Robin, Joris Perot, Yann-Herlé Gourvès

Eric Rouquette est auteur/metteur en scène de théâtre et réalisateur de cinéma, auteur notamment de la pièce Signé Dumas en 2003 et de La Véranda en 2008. Il réalise Premier Matin en 2013, l’adaptation en court métrage de la pièce de théâtre dont il est l’auteur. Il s’apprête à tourner son second court métrage Les âmes en peine et développe Farid et Faouzia son premier long métrage.

Le tournage est prévu du 16 au 20 septembre à Morlaix et ses environs

 

Le bleu blanc rouge de mes cheveux, court métrage de 20 minutes écrit et réalisé par Josza Anjembe, produit par Yukunkun Productions (Nelson Ghrenassia).

À dix-sept ans, Seyna, une adolescente d’origine camerounaise se passionne pour l’histoire de la France, le pays qui l’a vue naître et dont elle est profondément amoureuse.

Son baccalauréat en poche et sa majorité approchant, Seyna n’aspire qu’à une chose : acquérir la nationalité française. Mais son père Amidou s’y oppose farouchement.

Josza Anjembe est journaliste et documentariste. Le bleu blanc rouge de mes cheveux est son premier film de fiction

Le tournage est prévu du 20 au 27 septembre à Rennes.

 

Là où tu trouvais refuge, court métrage de 26 minutes écrit et réalisé par  Guillaume Legrand, producteur : Topshot Films, France (Bastien Daret et Robin Robles), co-producteurs : Next Days Films, Belgique (Maxime Feyers et François-Xavier Potmans).

Didier veut être un bon père pour sa fille Lydie. Cette dernière a quitté la maison, un an plus tôt, pour se réfugier dans une secte. Lorsqu’il la retrouve, Didier n’hésite pas : il l’enlève et la ramène de force dans le foyer familial. Mais Lydie ne veut pas être sauvée. Didier peut-il la forcer à être heureuse ?

Avec Jan Hammenecker  et Anne Coesens

Guillaume Legrand a étudié le cinéma aux Etats-Unis, au California Institute of the Arts, d’où il est sorti diplômé en 2012. Son film de fin d’études tourné en France, Le Souffle Court, a été sélectionné dans une trentaine de festivals internationaux. Dans ses films, Guillaume s’intéresse particulièrement à la figure du couple, à ses forces mais surtout à ses faiblesses.

Le tournage est prévu fin septembre dans le Finistère.

 

La bataille des Vénètes, court métrage de 8 minutes en 4D réalisé par Gallien Chanalet-Quercy, produit par Lionel Buannic Krouiñ et Cow Prod.

Le projet Diorren (Vannes) a pour objectif la création d’un espace de découverte de l’histoire, s’appuyant à la fois sur les nouvelles technologies, le multimédia et une salle de cinéma en 4D. Cette initiative est portée par des professionnels bretons issus de l’audiovisuel, des images de synthèse et de la production de films, accompagnés par un atelier d’architecture et par un comité scientifique et historique. Le visiteur se retrouvera immergé dans différentes époques de l’histoire bretonne, du mésolithique jusqu’à la bataille des Venettes. Ouverture prévue : printemps 2016.

La guerre des Vénètes est un conflit qui s’est déroulé en 56 av. J.-C.. entre la République romaine et les Vénètes, peuple de Gaule celtique, à la tête d’une coalition de peuples armoricains, dans le cadre de la Guerre des Gaules menée par Jules César. L’événement le plus marquant de cette guerre est une bataille navale, dite parfois « du Morbihan » ou « de Vannes », qui voit la victoire des Romains.

Le film retrace les moments qui ont précédé la bataille des Vénètes et la bataille en elle-même. Il comporte très peu de dialogue pour laisser toute la place au jeu des acteurs, à l’image en relief et aux mouvements des sièges (4D).

Avec Gael Laurent, Hélène Jacquelot, Jackez André, Jean Marie Le Clerre, Guillaume Delisle

Le tournage est prévu fin septembre dans le Morbihan (Erdeven et Vannes).

  

DES FILMS LIES A LA BRETAGNE PRIMES DANS DES FESTIVALS DE CINEMA

Deux films tournés en Bretagne ont été primés au Festival du film de Locarno (Suisse) qui a eu lieu du 5 au 15 août.

Il s’agit de Suite Armoricaine, (ex-Mémoire vive), long métrage de Pascale Breton, Prix de la critique internationale (Prix FIPRESCI) et de D’ombres et d’ailes, court métrage d’animation réalisé par Elice Meng et Eleonora Marinoni, produit par Vivement Lundi !, Pardino d’argent et Prix du jury Jeune de la compétition nationale Léopards de demain.

Suite Armoricaine, long métrage de 148 minutes, écrit et réalisé par Pascale Breton, produit par Mélanie Gerin et Paul Rozenberg – Zadig Films, en coproduction avec Sylicone.

C’est une histoire de somnambules. Il y a Françoise, qui revient à Rennes pour enseigner l’histoire de l’art à la fac, longtemps après y avoir commencé ses études. Il y a Ion, surgi de nulle part à la rentrée pour étudier la géographie. Il y a aussi Moon, la mère de Ion, dont par honte il prétend qu’elle est morte. Lydie, l’étudiante aveugle dont il est tombé amoureux. Il y a le rock, qui est plus fort que l’oubli, John qui n’a jamais cessé d’en faire, et les amis de Françoise de la grande époque qui n’ont pas cessé d’en écouter. Encore plus loin, au commencement, il y a un ruisseau, que Françoise a rendu invisible dans sa mémoire, et qui attend d’être visité, tel un tableau dans un musée.

Avec Valérie Dréville, Kaou Langoët, Elina Löwensohn, Manon Evenat, Laurent Sauvage, Klet Beyer, Tangi Daniel, Yvon Raude, Peter Bonke, Catherine Riaux.

Née à Morlaix en 1961, d’abord géographe, puis scénariste, Pascale Breton réalise son premier film en 1995, le moyen-métrage La Huitième nuit, qui remporte le Grand Prix et le Prix de la Meilleure Première Œuvre au Festival de Clermont-Ferrand (1996). Son court-métrage Les Filles du douze (nominé aux Césars en 2002) et son moyen-métrage La Chambre des parents remportent tous les deux le Grand Prix du Festival de Brest. Son premier long-métrage, Illumination (2004), produit par Gemini Films, est primé à Rotterdam, Turin, Santiago du Chili, et nominé à de nombreux prix. En 2014, elle réalise Suite Armoricaine, tourné en immersion dans l’université de Rennes 2.

Le tournage a eu lieu en majorité à Rennes, mais également un peu dans le Finistère, sur différentes périodes en 2013 et 2014.

 

D’ombres et d’ailes, court métrage d’animation réalisé par Elice Meng et Eleonora Marinoni, une coproduction Vivement Lundi ! / Nadasdy Film avec la participation de la RTS, du CNC, de l’Office Fédéral de la Culture, de la Région Bretagne, de Cinéforom, de la Loterie Romande, de TVR (avec la participation de la Ville de Rennes). Un film développé avec le soutien du Département de Loire-Atlantique.

Ce film d’animation est né il y a cinq ans devant « Là où vont les oiseaux sans ailes », une fresque peinte par Elice Meng. Face à sa toile, l’artiste rennaise se demandait ce que pourraient exprimer ses créatures mi-hommes mi-oiseaux si on les questionnait : que nous diraient-elles sur la place que l’on nous donne, celle que l’on choisit ? Elice a ébauché une histoire revisitant l’allégorie de la caverne de Platon et dans laquelle il serait question d’amour, de la place de l’individu dans le groupe et de résilience.

En 2012, Mathieu Courtois – producteur au sein de Vivement Lundi ! – présente Eleonora Marinoni à Elice Meng. L’histoire de « D’Ombres et d’ailes… » inspire la jeune animatrice suisse-italienne. Sa sensibilité picturale, son goût pour la peinture asiatique plaisent à Elice. Les deux femmes mêlent leurs univers graphiques pour animer et mettre en scène les « oishommes », créatures inspirées de celles de la toile initiatrice.

La fabrication du film s’est étalée sur 14 mois, du storyboard réalisé par Jean-Claude Rozec au mixage chez AGM Factory. La fabrication de certaines séquences a intégré la technologie de modélisation de foules de la société rennaise Golaem. Les deux réalisatrices ont confié la narration du film à Mathieu Amalric et la composition de la musique originale à Nicolas Martin.

Pour en savoir plus sur le court métrage D’Ombres et d’ailes, rendez-vous sur la page Facebook du film : www.facebook.com/dombresetdailes et sur le blog sur lequel vous pourrez découvrir la fabrication étape par étape du film : https://dombres-et-dailes.blogspot.fr/

 

AVANT PREMIERE DE FILM TOURNE EN BRETAGNE

D’ar gêr, les Bretons et la Grande Guerre, en avant-première lundi 21 septembre  au cinéma Le Grand Bleu à Carhaix.

D’ar gêr, les Bretons et la Grande Guerre, long-métrage documentaire de 1H16 mn, réalisé par Philippe Guilloux, produit par Carrément à l’Ouest

1914 -1918 : Bien qu’éloignée de la zone des combats, la Bretagne sera profondément marquée par ces quatre années de guerre. Car le tocsin qui annonce une terrible saignée sonne aussi le glas d’une société rurale traditionnelle qui tardait à entrer dans le XXème siècle.

  

DES FILMS TOURNES EN BRETAGNE  SELECTIONNES DANS DES FESTIVALS

Comme l’an passé, la Bretagne sera bien représentée au Festival de la fiction TV de la Rochelle https://www.festival-fictiontv..com qui se tiendra du 9 au 13 septembre avec les téléfilms Au nom du fils et 9 jours en hiver tous deux sélectionnés en compétition et un épisode de la série Nicolas Le Floch présenté hors compétition

Au nom du fils, téléfilm unitaire de 97 minutes, réalisé par Olivier Péray, produit par Pierre Javaux Productions (Pierre Javaux) pour Arte.

Alors qu’il voyage en Colombie après la mort de sa mère, Étienne, un jeune homme de dix-neuf ans, cesse soudain de donner de ses nouvelles. Michel, son père, métallo et syndicaliste au chantier naval de Brest, décide du jour au lendemain de partir seul à sa recherche. Mais Michel n’a jamais voyagé et ne parle aucune langue étrangère. Très vite, en Colombie, il n’aura pour seuls bagages que des certitudes et des valeurs qui n’ont plus cours. C’est en s’efforçant de s’ouvrir à des mondes nouveaux que Michel, en mettant ses pas dans ceux de son fils, va essayer de le comprendre enfin.

Avec Pascal Demolon, Lola Naymark, Gabriel Garnier, Tatiana Hurtado Ariza, Thierry Levaret

Le tournage a eu lieu du 27 au 29 janvier 2015 au port de Brest (retrouvez les photos du tournage viahttps://www.tournagesbretagne.com/fr/utiles/actualites/courte-escale-a-brest-pour-le-telefilm-d-olivier-peray-au-nom-du-fils). La suite du tournage a eu lieu en Colombie. Accueil des Tournages en Bretagne a aidé la production en particulier pour la recherche de décors et de techniciens.

 

Neuf jours en hiver, téléfilm unitaire de 97 minutes, scénario de Alain Tasma, Arnaud Cathrine et Eric Caravaca (d’après « Je ne retrouve personne » d’Arnaud Cathrine), réalisé par Alain Tasma, produit par Roche Productions (Dominique Tibi) et Arezzo Films (Frédéric Bruneel) pour Arte.

Aurélien, à l’âge de 20 ans, a quitté sa province, sa famille petite-bourgeoise et l’emprise de son frère aîné. Aujourd’hui, à 35 ans, ses parents sont décédés, il ne voit plus son frère que de façon sporadique et s’en porte très bien. Durci, résolu à la solitude, il se contente d’une vie amoureuse en pointillé. Mais voilà que la vente de la maison familiale l’oblige à revenir dans son village d’enfance et lui impose de se confronter à ce qu’il a fui. Il prend dès lors conscience qu’une vie ne peut se résumer à un engagement professionnel. Son séjour breton qui devait durer quarante-huit heures va se prolonger : les conflits qui l’attendent vont être l’occasion de redistribuer les rôles au sein de la famille et de se libérer, notamment de cette place écrasante d’éternel second.

Avec Robinson Stevenin, Catherine Hiegel, Elina Salomon, Yannick Choirat, Patrick Mille, Lucie Debay.

Le tournage a lieu en Ille-et-Vilaine et dans les Côtes d’Armor (Saint-Lunaire, Dinard, Dol-de-Bretagne, Saint-Briac, Ploubalay et Lancieux) du 2 au 27 mars 2015.Neuf jours en hiver a bénéficié du soutien de la Région Bretagne (aide financière et aide logistique d’Accueil des tournages en Bretagne). De nombreux techniciens bretons ont participé au tournage (retrouvez des photos de celui-ci via https://www.tournagesbretagne.com/fr/utiles/actualites/derniere-semaine-sur-la-cote-d-emeraude-pour-le-telefilm-d-alain-tasma-8-jours-en-hiver).

 

Nicolas Le Floch – Le noyé du grand canal, épisode de 97 minutes, réalisé par Philippe Bérenger, produit par La Compagnie des phares et balises (Jean Labib, Louise Barnathan) pour France 2.

1777 : la France et l’Angleterre se font la guerre pour ou contre l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique. Nicolas le Floch, chargé par Louis XVI de veiller sur le duc de Chartres assiste à la lâcheté de celui-ci au combat. Il en fait rapport au roi. Le Floch vient de se faire un ennemi mortel…

Avec Jérôme Robart, Mathias Mlekuz, François Caron, Norah Lehembre, Michel Abiteboul, Bruno Todeschini, Nicolas Vaude, Vincent Winterhalter, Sava Lolov, Thomas Chabrol

Le tournage a eu lieu le 21 avril 2015 à Saint-Malo, à bord de l’Etoile du Roy – https://www.tournagesbretagne.com/fr/les-decors-bretons/un-avant-gout-de-la-bretagne/etoile-du-roy (retrouvez le sujet réalisé par France 3 à l’occasion du tournage via https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/saint-malo/nicolas-le-floch-bord-de-l-etoile-du-roy-709817.html).

 

SORTIES EN SALLES DE FILMS TOURNES EN BRETAGNE

Petites Casseroles et Premiers crus en salle à partir du mercredi 23 septembre

Le distributeur, les films du Préau, a intitulé son programme Petites Casseroles, mettant en avant un des six films présentés et produit en Bretagne.

La petite casserole d’Anatole, réalisé par Eric Montchaud d’après une oeuvre littéraire de Isabelle Carrier, court métrage d’animation de 5 minutes 47, produit par JPL Films, diffuseurs : Tébéo, Tébésud, TVR.

Anatole traîne toujours derrière lui sa petite casserole. Elle lui est tombée dessus un jour… On ne sait pas très bien pourquoi. Depuis, elle se coince partout et l’empêche d’avancer. Un jour il en a assez.. Il décide de se cacher. Pour ne plus voir et ne plus être vu. Mais malheureusement, les choses ne sont pas si simples…

Ce film a reçu le soutien de la Région Bretagne, du CNC, de CiClic – Région Centre, de la SACEM, de la Procirep et de l’Angoa.

 

Premiers crus, réalisé par Jérôme Le Gris, produit par Alter film

Premiers crus raconte les retrouvailles de Charlie (Jalil Lespert), œnologue parisien réputé, et de son père François (Gérard Lanvin) un viticulteur ayant perdu le goût du vin et dont les errements précipitent l’exploitation familiale vers la faillite. D’abord réticent, Charlie revient en Bourgogne afin d’aider son père…

La grande majorité du tournage a bien entendu eu lieu en Bourgogne, mais l’équipe s’est déplacée pour son dernier jour de prises de vues, en novembre dernier, à Saint-Cado (Belz – 56).

 

DES FILMS TOURNES EN BRETAGNE EN TOURNEE DANS DES SALLES DE CINEMA

CinéMA 35 et Zoom Bretagne Cinéphare organisent la venue de Marie Belhomme, réalisatrice du film Les chaises musicales en Bretagne en septembre.

Les Chaises Musicales, scénario : Marie Belhomme et Michel Leclerc, réalisation : Marie Belhomme, produit par 31 Juin Films.

Perrine est une musicienne presque professionnelle.

Elle vit seule et anime des goûters d’anniversaires, ou les gâche, c’est selon.

Par accident, elle fait tomber un homme dans la benne d’une déchèterie.

L’inconnu est dans le coma, mais Perrine est prête à tout pour qu’il se réveille. Elle s’immisce dans sa vie pour le découvrir, mais profite aussi de l’occasion pour lui emprunter son boulot, son appartement, son chien…

Mais surtout, elle tombe amoureuse…

Avec Isabelle Carré, Carmen Maura, Philippe Rebbot, Nina Meurisse

Marie Belhomme est née en 1978 en Bretagne. Elle est scénariste et comédienne. Les Chaises musicales est sa première mise en scène.

Le tournage a eu lieu  du 2 juin au 11 juillet 2014 à Rennes, Saint-Aubin-d’Aubigné, Saint-Aubin-du-Cormier et Ercé-près-Liffré.

Les Chaises musicales bénéficie du soutien de la Région Bretagne (aide financière et aide logistique d’Accueil des tournages en Bretagne) ; diffuseurs : France 3, Orange Cinéma séries. Distribution : Bac Films.

 

Séances en présence de la réalisatrice :

Le Mercredi 23 septembre, Cinéma Le Vendelais à Chatillon en Vendelais (35) à 20h30

Le Jeudi 24 septembre, Cinéma Paradisio à Chateaugiron (35) à 20h30

Le Vendredi 25 septembre, Cinéma Le Sévigné à Cesson-Sévigné (35) à 20h30

Le Samedi 26 septembre

            Etoile cinéma à Chateaubourg (35) à 17h

            Cinéma Le Club Locminé (56) à 20h30

Le Dimanche 27 septembre

            Ciné Roch Guéméné-sur-Scorff (56) à 16h30

            Arthus ciné à Huelgoat (29) à 20h15

Le Lundi 28 septembre Cinémanivel à Redon (35) à 20h30

Plus d’informations: https://bretagne.cinephare.fr/information/les-chaises-musicales

 

LA BRETAGNE AU CINEMA…  EN LIBRAIRIE

Deux sœurs originaires du Morbihan, Nolwenn Blanchard, ethnomusicologue et Maria Blanchard, réalisatrice et monteuse, toutes deux passionnées de cinéma, proposent un panorama des représentations de la Bretagne sur les grands écrans.

En explorant différentes visions de réalisateurs au travers de textes bien illustrés, l’ouvrage invite à découvrir de multiples facettes de la région vue par les cinéastes.

Elles ont réparti les 102 films retenus en 10 chapitres : Le climat ; La mer ; les îles ; Retour aux sources ; Vacances d’été ; Terre de rencontres ; Au cœur d’une culture ; Carte postale ; l’Histoire entre vérité et fiction et Face aux vents contraires, et ce choix s’avère tout à fait pertinent.

On notera que les films retenus proposent une vraie diversité puisque les gros budgets cohabitent avec des films dont la carrière en salle a été plus modeste, mais qui ont cependant toute leur place ici tels Le missionnaire de Jean Kergrist, Avec Dédé de Christian Rouaud ou Lann Vraz de Soazig Danielou.

Le vrai plus par rapport à d’autres ouvrages du même type vient des analyses faisant référence à la langue, la culture et la musique, une mise en contexte permise par les profils complémentaires des auteurs, assistées de leur père, lui-même journaliste en retraite, relecteur et auteur des deux derniers chapitres.

La Bretagne au cinéma, Riveneuve Editions
https://www.riveneuve-editions.com/catalogue-2/arts/la-bretagne-au-cinema/


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Edito

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